DIME FACSA: N’oubliez pas !

Pourquoi une dîme FACSA en France ?

En France métropolitaine, il est acquis qu’une cultuelle (loi 1905) ne permet pas juridiquement de promouvoir des activités tournées vers l’extérieur de l’église ou à destination d’un public exclusivement non adventiste. L’activité cultuelle est davantage en faveur des membres quand l’activité culturelle et sociale (loi 1901) serait plutôt dirigée vers les autres personnes. Dans ce cas, les dépenses d’activités missionnaires sont financées par un budget de la dîme du mois de mars (avec une comptabilité fédérale en FACSA). Cette dîme est appelée aussi « dîme violette » ou plutôt « dîme évangélisation ». Elle reste toujours une dîme du point de vue biblique, car elle est bien gérée par la Fédération pour l’avancement de l’œuvre de Dieu. Elle n’est pas comptabilisée comme une offrande. Les offrandes des ACSA qui soutiennent d’autres projets ou activités culturelles sont gérées différemment par la Fédération ou par les églises locales.

Depuis sa mise en place, le résultat des dîmes évangélisation en France Nord n’ont pas beaucoup progressé : • 2012:261651€
• 2013:170911€
• 2014:190002€

• 2015:182945€

Faudrait-il venir à en douter ? Non, car les dîmes et les offrandes appartenant à Dieu, l’église est encouragée à continuer sa mission et les membres appelés à persévérer. De nombreuses bénédictions sont à venir ! Il est important de se rappeler les vœux de baptéme, et les différentes questions, dont celle qui dit : « Avez- vous l’intention de rendre un culte à Dieu et de soutenir l’église par vos dîmes et vos offrandes ? »1

Ainsi, cette contribution spéciale (en respect des lois françaises) fait partie d’un engagement financier reconnu officiellement par l’église adventiste mondiale. Respectons ce principe de la dîme FACSA afin de soutenir au mieux toutes les missions de l’église adventiste en France. Dans le cas contraire, comment assumer pleinement la principale activité de l’église qui est la proclamation de l’évangile ? Pourrions-nous imaginer remettre en question la pérennité de la mission ? Avec la prise en charge des dépenses des pasteurs qui œuvrent dans plusieurs départements de la FACSA, le principe biblique de la dîme est respecté.

Tous les départements au niveau fédéral qui sont au service des églises répondent à l’ordre de Jésus : « Allez, faites des gens de toutes les nations des disciples, baptisez-les pour le nom du Pére, du Fils et de l’Esprit saint, et enseignez-leur à garder tout ce que je vous ai commandé. Quant à moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde »2 .

Pasteur Jarvis Doom

Trésorier FFN

Dime FACSA

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