Souris même si ton sourire est triste. Car il existe quelque chose de plus triste qu’un sourire triste. C’est la tristesse de ne pas savoir sourire.
En fait, un simple sourire peut faire toute la différence dans la vie d’une personne.
Cela fait maintenant plus d’un an que nous n’avons pas pu voir le sourire de nos frères et sœurs. Le port du masque a été une contrainte qui nous a privée de la joie de recevoir le sourire fraternel du sabbat.
Maintenant que cette contrainte est levée, je vous invite à faire des sabbats qui viennent des occasions pour vivre notre fraternité en arborant nos plus beaux sourires. Bien sûr, cela ne nous dispense pas de rester prudents en aérant les salles et en utilisant le gel hydroalcoolique. Les personnes les plus fragiles sont encore invitées à porter leur masque si elles le souhaitent. Mais pour tous les autres, faisons de ces sabbats des moments de convivialité et de partage de sourires. L’église, c’est d’abord des moments de communion fraternelle en présentiel pour voir, entendre et communiquer avec ceux qui nous sont chers.
Je vous lance donc un défi aujourd’hui : allons vers nos frères et sœurs et offrons-leur notre plus beau sourire en leur disant :
« Je te souris, car Jésus m’aime, et il t’aime aussi ».
Mon frère, ma sœur, je te souris, car Jésus m’aime, et il t’aime aussi.
Jean-Jack CHAFOGRACK,
Président FFN
